Le web est grand, mais sans doute pas assez, et c'est ainsi que le NazeJournal doit maintenant répondre de l'usage de "matériel photonumérique" dont il n'est pas propriétaire pour illustrer des textes.
On ne sait par quel superbe miracle de la technologie, mais le cabinet de
M. SARASSE a réussi à obtenir l'adresse du NazeJournal. A la suite de la plainte déposée par le photographe Raphaël PRISANT, qui est l'auteur des illustrations utilisées dans certains articles du
NazeJournal, les avocats n'ont pas pris peine d'envoyer des mises en demeure, désirant faire une mise au point sur l'utilisation des illustrations numériques.
Après plusieurs échanges de mails, il indique qu'il "
veut faire un focus sur les méthodes employées par les sites internet, bafouant le droit à l'image", espérant déclencher un "
flash" dans l'opinion publique. "
On a assez joué du retardeur" ajoute-t-il. On ne lui reproche pas son objectif, et cela aurait pu être une résolution prise entre les deux parties, le photographe et le NazeJournal.
La photo en question porte sur des gens totalement inconnus pour ma part, posant avec des maquereaux, et qui s'avèrent être le groupe X7. Groupe dont le diffuseur de l'image n'est gère porté sur l'ouverture. C'est pourquoi à travers son photographe Raphaël PRISANT et son avocat Jean-Luc SARASSE, ils ont décidé d'attaquer de nombreux sites, dont le NazeJournal.
Inutile de dire que les tentatives de médiation ont été vaines, ces gens-là n'ont aucune sensibilité. Je suis d'accord, faut calmer le jeu, mais est-ce une raison pour être un obtus orateur ? Nous ne sommes que des hommes... Tout cela contraste avec le "tout blanc" qu'évoque la balance de la justice, ça mériterait bien quelques réglages...
Bref, sauf retournement de situation, tout cela se réglera devant le barreau avec des avocats crevés, et vous pourrez en suivre le développement.