Voici un de mes clips préférés, réalisé par Jonathan Glazer. Le principe est de jouer avec les éléments de la pièce, où les murs sont indépendants du sol (je me souviens très bien de la brillante démonstration de Bonaldi à l'époque, ça c'était de la télé, mon p'tit gars !). J'imagine bien les mecs qui ont du pousser les murs, ça a dû être sympa à mettre en place. Je me souviens avoir un jour repéré un truc qui collait pas, mais j'aime bien faire mon chiant aussi. En revanche, si j'aime beaucoup le morceau en lui-même, j'aime encore plus la moue finale de Jay Kay. » afficher/masquer le clip J'avoue avoir un peu de mal à comprendre la neuvième position de ce clip. S'il s'agit de recompenser les effets spéciaux, ils restent quand même très cheap et sans doute comparables à ceux de l'époque vus dans d'autres clips. S'il s'agit de la chanson, y a rien à redire, mais c'est pas le bon classement. S'il s'agit du groupe, alors il y avait sans doute mieux, ne serait-ce que I Want To Break Free. Et si c'est pour le clip emblématique, il y a là encore largement mieux. Enfin, c'est peut-être une question d'esthétique qui me dépasse autant que l'interêt porté aux Tokio Hotel. Rien que d'avoir dit ça, ce Bohemian Rhapsody me redonne le moral. » afficher/masquer le clip Peter Gabriel a toujours apporté un soin particulier à tout le domaine artistique qui entoure ses chansons, et à défaut de pouvoir voir des extraits de concert facilement, on peut toujours profiter de ses clips. A commencer par SledgeHammer, sans doute le plus emblématique, raflant 9 MTV Video Music Award en 1987, dont celui du meilleur réalisateur pour Stephen R. Johnson. » afficher/masquer le clip Recompensé par le MTV award pour la meilleure réalisation de clip en 2000, Spike Jonze met en scène l'acteur Christopher Walken sur ce morceau de Fatboy Slim, lequel aurait pu aussi concourir pour le clip de Right Here Right Now. Mais ici, c'est bien l'acteur qui dance, avec quelques doublages grossiers mais qui apportent justement plus de crédibilité à la performance globale, qui, elle, est bien réelle. Et pourtant, je ne suis pas fan du tout des chorégraphies, mais là, c'est juste la classe. » afficher/masquer le clip En 1990, David Fincher réalise Vogue, le clip de Madonna alors dans sa période glamour chic, enfin quelque chose dans le genre. Pourtant recompensé par plusieurs trophées, c'est plus par la controverse que ce clip se fait connaître, avec des poses et des habits qui appellent à la censure de l'époque qui ferait sans doute rire les producteurs de pubs pour les produits douche actuels. Ce clip, basé sur le noir et blanc, c'est autre chose que son collant rose et ses rollers, quand même. » afficher/masquer le clip Richard Ashcroft, le chanteur de The Verve, aime être détestable dans ses clips (ou peut-être l'est-il réellement, ce que je suis pas loin de penser). Toujours est-il que s'il l'a également montré dans le réussi A Song For The Lovers (mais je suis peut-être juste amoureux de cette chanson), il atteint des sommets d'antipathie dans ce clip, le premier tube de The Verve, où il ne prend même pas la peine de tenter l'esquive de passants. C'est pourtant un jeu rigolo, et ça use moins les épaules (mais bon, de temps en temps hein) (mais oui je suis méchant) (mais quelque part c'est normal aussi, hein). En tout cas moi j'arme toujours les épaules, ça peut servir (et je sais que je ne suis pas le seul à le faire, hu hu). » afficher/masquer le clip Là, on arrive dans le mythique, MTV Video Award de la meilleure photographie en 1992 (euh, rien à voir avec ma capture floue, il s'agit bien là de la qualité de l'image). Déjà, le scénario résume en neuf minutes ce que M6 met une après-midi à développer. Les scènes sont toutes plus improbables les unes que les autres, pourtant servies par de grands acteurs (...). Entre le témoin du mariage enfumé, le plongeon sur la pièce montée et le fabuleux solo de Slash dans un pseudo désert, on comprend qu'Axl Rose déprime comme un fou. Et puis comme je suis *sympa*, je vous rappelle que votre site préféré le NazeJournal a publié la story des Guns' sous la plume d'Axl (et dont on attend la troisième partie, hu hu). » afficher/masquer le clip Assurément un grand classique des années 80, ce titre doit une grande partie de sa notoriété à son clip, qui utilise des effets spéciaux plutôt brillants pour l'époque (1986). Le clip est basé sur un mélange entre la bande dessinée dont sont issus les membres du groupe, et le monde réel où vit la protagoniste. Et comme le monde eh bah il est trop beau (mais pas autant que Morten Harket, bien entendu), l'amour fera tomber cette barrière de papier. Ah ! L'amour... Take On Me reste le plus gros succès du groupe, mais il ne s'agirait pas d'oublier leurs derniers albums en date, Minor Earth Major Sky ou Analogue, enfin je dis ça comme ça. » afficher/masquer le clip Je sais qu'à la simple évocation de Sabotage certains ont les yeux qui pétillent, et c'est plutôt normal puisque ce clip des Beastie Boys est ce qu'on fait de mieux dans la parodie kitsch. Ce clip de 1994, signé encore une fois Spike Jonze, met en scène une course poursuite pleine de cascades moisies, de dérapages foireux et surtout de moustaches incomparables. Je reste fan de la séquence du donut ainsi que de la glissade sur le capot de la voiture, mais tout reste assez exceptionnel dans le n'importe quoi. » afficher/masquer le clip C'était couru d'avance, c'est Thriller de Michael Jackson qui rafle la mise. C'est pas forcément immérité, tant cette vidéo aura marquée l'histoire des clips. Datant de 1983, sa longueur n'a rien n'a envier aux clips de Mylène Farmer, et se présente comme un vrai petit film. On y découvre Michael Jackson dans son blouson rouge qui exécute sa fameuse chorégraphie, tandis que la pleine lune arrivant, il se transforme en loup-garou. Brrrrr. Dire que maintenant il n'aurait plus besoin de se déguiser pour faire peur à la demoiselle ! A moins, c'est vrai aussi, qu'elle soit déjà un peu trop âgée pour lui...